Par son nom

Musicien : Laurent Grimaux
Régie en scène : Emmanuel Grimaux
Photographie : Étienne Grimaux

En bref

Par Laurent Grimaux

Au commencement, c’est avec l’adaptation pour la batterie du Boléro de Maurice Ravel que m’est venue l’idée de ce spectacle : raconter l’histoire de la batterie.

Par passion, j’ai eu envie de partager, de divulguer, communiquer cette histoire.

Le fil rouge (et noir) de ce spectacle est déroulé par la présentation des instruments pouvant constituer une batterie de percussions.

À commencer par l’utilisation du tambour dans la musique militaire avec deux morceaux ; les trois Dianes et le Rigodon. Ce sont les tambours militaires et les musiques napoléoniennes en particulier qui donnent leurs lettres de noblesse à un instrument ancré dans la vie de tous les jours (avec par exemple les musiques du Quercy, de Bretagne ou écossaises…).

Le Train (Dante Agostini), c’est la réponse du berger à la bergère. Pièce civile très complexe, qui répond à la complexité des tambours napoléoniens.

Ensuite, le jazz a récupéré la technique de la musique militaire. Max Roach (The drum also waltzes), en plus d’une polyrythmie notable, met en exergue la mélodie dans son jeu. Je me suis inspiré de cette démarche dans mon adaptation du Boléro de M. Ravel et dans l’écriture de Chen Four # (Laurent Grimaux).

À ce propos, le réglage de ma batterie est fondamentalement mélodique, elle est accordée.

Pour les morceaux contemporains, the Black Page (Frank Zappa) est très mélodique ; Frank Zappa est d’ailleurs un batteur qui s’est mis à la guitare. Il en va de même pour tout le travail de Terry Bozzio, un des batteurs de Zappa. On entendra d’ailleurs The only thing she needs (UK) comme introduction du spectacle.

Déroulé

Le spectacle se présente sous la forme d’une conférence-concert. Une façon vibrante d’en apprendre plus et de profiter de la musique !

N’hésitez pas, demandez-nous le dossier du spectacle !

On parle de nous

Cahors – La Dépèche